guantanamera
10/08/2020La Seconde Guerre Mondiale a donné lieu à des histoires incroyables et le sport n'en réchappe pas. Populaires aujourd'hui, elles sont souvent relatées de manière à mettre en valeur la résilience des victimes face à une situation aussi désespérante que la guerre et à démontrer que même dans la pire des situations, l'humanité continue a avoir cette lueur d'espoir déraisonnable . Comme ces juifs qui chantaient dans les trains qui les emmenaient vers Auschwitz.Ou le brave soldat allié qui s'est lancé dans les bras d'une Mort certaine sur les plages de Normandie. Ou, comme le 9 août 1942, quand une équipe de football ukrainienne a refuser de perdre le tournoi préparé sur-mesures par les Nazis quitte à y perdre la vie...
Tout a commencé à Kiev, alors occupée par les Nazis. Iosif Kordik, sorte de Oskar Schindler ukrainien, était alors propriétaire d'une boulangerie industrielle. En grand fan du Dynamo Kiez, Iosif croisa un jour Nikolaj Trusevic dans la rue. Le gardien de but de son équipe favorite était pâle et maigre. Il lui offrit un travail dans sa boulangerie et en peu de temps, de nombreux coéquipiers mais aussi adversaires (Lokomotyv) se joignirent à Nikolaj et trouvèrent ainsi de quoi gagner leur vie en cette période difficile.
Les Nazis en fins stratèges utilisaient tous types de propagande pour calmer les ardeurs du peuple ukrainien totalement hostile à cette occupation. Parmi les stratégies employées, le sport avait été choisi comme vecteur de propagande important comme le démontre l'organisation des JO de Berlin trois ans avant la Guerre, en 1936.
Un tournoi de football a donc été organisé par les Nazis. Celui-ci faisait s'affronter 6 équipes dont la majorité était composées d'officiers allemands et de soldats collaborateurs. Kordik a inscrit son équipe composée de joueurs professionels sous le nom de "FK Start". Cela va de soi, le tournoi a vite été plié et les joueurs de Start ont facilement disposé d'une équipe de la Luftwaffe en finale.
Vexés de cet affront, les Nazis ont alors imaginé et organisé un match revanche sous la forme d'un "all-star game": ils ont rassemblé tous les meilleurs joueurs nazis à leur disposition et recruté un arbitre SS corrompu pour l'occasion. Le match eu lieu le 9 août 1942, 78 ans et 1 jour en arrière et il est aujourd'hui connu comme étant "le Match de la Mort".
Avant même le coup de sifflet initial du match, les ukrainiens avaient refusé de se joindre au traditionnel salut Nazi. Une fois le match commencé, les 45.000 spectateurs ont pu assister à un match âpre et particulièrement violent où l'arbitre ne faisait qu'envenimer les choses. A la mi-temps, les ukrainiens menaient déjà 2-1.
Pendant le repos de ce match, un officier de la propagande Nazi aurait pénétré dans le vestiaire ukrainien pour menacer l'équipe toute entière d'une mort certaine s'ils osaient s'imposer face à l'équipe du Reich. Une fois sorti du vestiaire, les joueurs se seraient concertés et auraient décidé de ne rien changer à leur manière de jouer malgré l'enjeu.
Le FK Start l'emporta finalement 5-3. Les joueurs ukrainiens et allemands posèrent tous ensemble pour la traditionnelle photo de fin de match.
Mais peu de temps après le match, 9 joueurs appartenant à la résistance seront arrêtés, envoyés en camp de concentration où ils seront torturés puis fusillés. Les autres joueurs ont été contrôlés mais pas inquiétés.
La littérature et la propagande se sont emparés de cet événement tragique comme dans les films "Troisième mi-temps" d'Evgueni Karelov (1962) et "Deux mi-temps en enfer" (1962) de Zoltán Fábri et "A nous la victoire" de John Huston où on voit un jeune Sylvester Stallone garder maladroitement les buts d'une sélection de prisonniers de guerre imaginaire où jouaient aussi Michael Caine et de vrais footballeur beaucoup moins ridicules comme le roi Pelé, le héros et capitaine de l'équipe d'Angleterre championne du monde en 1966 Bobby Moore mais aussi Paul van Himst (légende du football belge), Sören Lindsted (int. danois), Osvaldo Ardiles (int. argentin), Ferenc Fülöp et Sándor Egervári (int. de la toute puissante Hongrie de l'époque) parmi tant d'autres professionnels qui ont souhaité rendre hommage à ces héros.
La page wikipedia du Match de la Mort
Tout a commencé à Kiev, alors occupée par les Nazis. Iosif Kordik, sorte de Oskar Schindler ukrainien, était alors propriétaire d'une boulangerie industrielle. En grand fan du Dynamo Kiez, Iosif croisa un jour Nikolaj Trusevic dans la rue. Le gardien de but de son équipe favorite était pâle et maigre. Il lui offrit un travail dans sa boulangerie et en peu de temps, de nombreux coéquipiers mais aussi adversaires (Lokomotyv) se joignirent à Nikolaj et trouvèrent ainsi de quoi gagner leur vie en cette période difficile.
Les Nazis en fins stratèges utilisaient tous types de propagande pour calmer les ardeurs du peuple ukrainien totalement hostile à cette occupation. Parmi les stratégies employées, le sport avait été choisi comme vecteur de propagande important comme le démontre l'organisation des JO de Berlin trois ans avant la Guerre, en 1936.
Un tournoi de football a donc été organisé par les Nazis. Celui-ci faisait s'affronter 6 équipes dont la majorité était composées d'officiers allemands et de soldats collaborateurs. Kordik a inscrit son équipe composée de joueurs professionels sous le nom de "FK Start". Cela va de soi, le tournoi a vite été plié et les joueurs de Start ont facilement disposé d'une équipe de la Luftwaffe en finale.
Vexés de cet affront, les Nazis ont alors imaginé et organisé un match revanche sous la forme d'un "all-star game": ils ont rassemblé tous les meilleurs joueurs nazis à leur disposition et recruté un arbitre SS corrompu pour l'occasion. Le match eu lieu le 9 août 1942, 78 ans et 1 jour en arrière et il est aujourd'hui connu comme étant "le Match de la Mort".
Avant même le coup de sifflet initial du match, les ukrainiens avaient refusé de se joindre au traditionnel salut Nazi. Une fois le match commencé, les 45.000 spectateurs ont pu assister à un match âpre et particulièrement violent où l'arbitre ne faisait qu'envenimer les choses. A la mi-temps, les ukrainiens menaient déjà 2-1.
Pendant le repos de ce match, un officier de la propagande Nazi aurait pénétré dans le vestiaire ukrainien pour menacer l'équipe toute entière d'une mort certaine s'ils osaient s'imposer face à l'équipe du Reich. Une fois sorti du vestiaire, les joueurs se seraient concertés et auraient décidé de ne rien changer à leur manière de jouer malgré l'enjeu.
Le FK Start l'emporta finalement 5-3. Les joueurs ukrainiens et allemands posèrent tous ensemble pour la traditionnelle photo de fin de match.
Mais peu de temps après le match, 9 joueurs appartenant à la résistance seront arrêtés, envoyés en camp de concentration où ils seront torturés puis fusillés. Les autres joueurs ont été contrôlés mais pas inquiétés.
La littérature et la propagande se sont emparés de cet événement tragique comme dans les films "Troisième mi-temps" d'Evgueni Karelov (1962) et "Deux mi-temps en enfer" (1962) de Zoltán Fábri et "A nous la victoire" de John Huston où on voit un jeune Sylvester Stallone garder maladroitement les buts d'une sélection de prisonniers de guerre imaginaire où jouaient aussi Michael Caine et de vrais footballeur beaucoup moins ridicules comme le roi Pelé, le héros et capitaine de l'équipe d'Angleterre championne du monde en 1966 Bobby Moore mais aussi Paul van Himst (légende du football belge), Sören Lindsted (int. danois), Osvaldo Ardiles (int. argentin), Ferenc Fülöp et Sándor Egervári (int. de la toute puissante Hongrie de l'époque) parmi tant d'autres professionnels qui ont souhaité rendre hommage à ces héros.
La page wikipedia du Match de la Mort
Magikcats
10/08/2020Jamais entendu cet histoire malgré qu’on avait apprit la seconde guerre mondiale en histoire.
Merci de me l’avoir apprit
Merci de me l’avoir apprit
Merior
10/08/2020Merci pour cet article, décidément j'en apprends des choses entre ce match et l'article que m'a partagé Blagoje Vidinic sur l'utilisation du foot à des fins politiques de Mobutu.
Nicularo
10/08/2020Et maintenant, le match de la paix
En invité de renom, les maires des deux villes : Hiroshima d'un côté, et Nagasaki de l'autre... Vous aurez bien entendu compris pourquoi
Les maires ont été accompagné de deux survivants, un de Nagasaki et un de Hiroshima.
Des étudiants des deux villes ont présenté un discours et ont sonné la cloche, deux fois, comme le veut la tradition au Japon afin de prier pour les personnes décédées.
Sur le maillot de Nagasaki, les chiffres sont en violet, la couleur du club de foot de Hiroshima. Et chacun porte le chiffre 89, qui représente le 9 août, date à laquelle Nagasaki a été bombardé en 1945.
Vis versa du côté de Hiroshima, qui avait les numéros du maillot en orange (couleur du club de Nagasaki) et avec le numéro 86, vous l'aurez compris pour le 6 août, quand "Big Boy" a frappé Hiroshima.
Revivez ce moment avec quelques photos ci-dessous :
https://www.facebook.com/media/set/?set=a.2038394809515770&type=3
En invité de renom, les maires des deux villes : Hiroshima d'un côté, et Nagasaki de l'autre... Vous aurez bien entendu compris pourquoi
Les maires ont été accompagné de deux survivants, un de Nagasaki et un de Hiroshima.
Des étudiants des deux villes ont présenté un discours et ont sonné la cloche, deux fois, comme le veut la tradition au Japon afin de prier pour les personnes décédées.
Sur le maillot de Nagasaki, les chiffres sont en violet, la couleur du club de foot de Hiroshima. Et chacun porte le chiffre 89, qui représente le 9 août, date à laquelle Nagasaki a été bombardé en 1945.
Vis versa du côté de Hiroshima, qui avait les numéros du maillot en orange (couleur du club de Nagasaki) et avec le numéro 86, vous l'aurez compris pour le 6 août, quand "Big Boy" a frappé Hiroshima.
Revivez ce moment avec quelques photos ci-dessous :
https://www.facebook.com/media/set/?set=a.2038394809515770&type=3
Blagoje Vidinic
10/08/2020On n'enseigne pas ça dans les écoles, collèges ou lycées français... ça ne fait pas partie des programmes. Et il y a déjà tellement de choses à raconter/enseigner rien que sur l'Histoire de France de cette période pour ne pas aller chercher dans l'Histoire ukrainienne.Magikcats : Jamais entendu cet histoire malgré qu’on avait apprit la seconde guerre mondiale en histoire.
Merci de me l’avoir apprit
A la rigueur, un.e professeur.e d'Histoire amateur(trice) de foot pourrait le glisser comme anecdote.
Pour ceux que ça intéresse, je vous donne le lien de ce don parle Merior :
Merci à Leguman qui a parfait ma culture générale sur ce coup-là
friquentv2
10/08/2020Effectivement, il y a un programme extrêmement dense à aborder et surtout, contrairement à ce que beaucoup trop de personnes pensent, l'histoire est très loin de se limiter aux dates et à l'anecdote. C'est clair que ça "donne le goût" à l'histoire, ce genre d'anecdotes, d’événements "improbables" et même pour moi, c'est toujours sympa de lire cela.Blagoje Vidinic : On n'enseigne pas ça dans les écoles, collèges ou lycées français... ça ne fait pas partie des programmes. Et il y a déjà tellement de choses à raconter/enseigner rien que sur l'Histoire de France de cette période pour ne pas aller chercher dans l'Histoire ukrainienne.
A la rigueur, un.e professeur.e d'Histoire amateur(trice) de foot pourrait le glisser comme anecdote.
Maintenant, ça reste surtout de l'événementiel, quelque chose d'assez "superflu" et si on se limite à "raconter cet événement", on ne peut pas vraiment relier des compétences liées à l'histoire : critiquer une source d'information, communiquer un résultat de recherche, synthétiser une idée, argumenter, se poser des questions pertinentes qui permettent d'interpréter le passé et non pas le décrire, et j'en passe.
Maintenant, si les enseignants avaient plus de temps, ils pourraient sans doute monter une séquence sur ce point de départ où les élèves s'interrogeraient sur les contestations de l'occupant nazi dans une perspective transnationale en caractérisant les points communs et en relevant les différences nationale/régionales
Blagoje Vidinic
10/08/2020J'allais le dire !friquentv2 : ... ils pourraient sans doute monter une séquence sur ce point de départ où les élèves s'interrogeraient sur les contestations de l'occupant nazi dans une perspective transnationale en caractérisant les points communs et en relevant les différences nationale/régionales
guantanamera
10/08/2020ouh lala, demander aux élèves de "s'interroger" c'est bien naïf de ta part ^^friquentv2 : Maintenant, si les enseignants avaient plus de temps, ils pourraient sans doute monter une séquence sur ce point de départ où les élèves s'interrogeraient sur les contestations de l'occupant nazi dans une perspective transnationale en caractérisant les points communs et en relevant les différences nationale/régionales
Toutefois, j'aimerais vous rappeler que les petites histoires font la grande Histoire.
Blagoje Vidinic
10/08/2020On n'a jamais dit le contraire.guantanamera : ...
Toutefois, j'aimerais vous rappeler que les petites histoires font la grande Histoire.
Et je salue ton initiative.
friquentv2
10/08/2020Ce n'est pas toujours simple, mais certains y arrivent bien et d'autres connaissent une progression spectaculaire en la matière!guantanamera : ouh lala, demander aux élèves de "s'interroger" c'est bien naïf de ta part ^^
guantanamera
10/08/2020Par expérience, peu sont ceux qui y arrivent. Et à moins de vouloir faire classe à "certains" (3 élèves) et laisser les autres roupiller peinard, ce genre d'activité ne donne pas les fruits escomptés hélas. M'enfin, je m'égare ^^friquentv2 : Ce n'est pas toujours simple, mais certains y arrivent bien et d'autres connaissent une progression spectaculaire en la matière!
Magikcats
10/08/2020Le soucis tu apprends tout les trucs intéressants durant une seule année au collège et lycée.
Car des trucs comme les romains le moyen âge et tout c’est bien moins intéressant que la seconde guerre mondiale mais au programme du collège cela dure plus longtemps la leçon que la seconde guerre mondiale.
Le soucis après au lycée t’apprend la même chose mais le soucis tu dois faire plus du français qu’autre chose et ce n’est pu de l’histoire mais du français. C’est comme la svt c’est pareil ça devient nul au lycée car c’est que des synthèses et compagnie que tu dois faire et rien d’autre.
Surtout que comme vous avez dit le programme de 3 eme est le plus dur et qu’il y a plus de choses donc hormis dire le plus gros on apprend pas autant que voir un film sur la seconde guerre mondiale.
Car des trucs comme les romains le moyen âge et tout c’est bien moins intéressant que la seconde guerre mondiale mais au programme du collège cela dure plus longtemps la leçon que la seconde guerre mondiale.
Le soucis après au lycée t’apprend la même chose mais le soucis tu dois faire plus du français qu’autre chose et ce n’est pu de l’histoire mais du français. C’est comme la svt c’est pareil ça devient nul au lycée car c’est que des synthèses et compagnie que tu dois faire et rien d’autre.
Surtout que comme vous avez dit le programme de 3 eme est le plus dur et qu’il y a plus de choses donc hormis dire le plus gros on apprend pas autant que voir un film sur la seconde guerre mondiale.
Magikcats
10/08/2020Moi je me rappel avec cette tuuu pour rester poli de prof, en 3ème on avait deux heures de suite le mardi après midi on écrivait à chaque fois 5 pages sans rien apprendre et on avait une pluie de devoirs.
Même les épreuves du brevet et bac étaient plus intéressant que ses contrôles trop baser sur le français plus que l’histoire géo. La preuve au brevet j’ai eu le double de points (28,5/40 .. pr env 8 de moyenne général. Car tu dis un synonyme d’un mot tu n’as pas le point ) que la moyenne en histoire géo avec elle.
Surtout quand on a un livre qui sert à rien hormis de faire les devoirs chaque semaines sur deux pages de livres et faire toutes les exercices dessus. Si tu apprends à la base du livre et tu expliques clairement avec les devoirs en classe l’élève apprendras mieux et sera autant intéressé que si tu regardes un film sur la seconde guerre mondiale chose qu’ils font sur les pays en dehors de la France.
Même les épreuves du brevet et bac étaient plus intéressant que ses contrôles trop baser sur le français plus que l’histoire géo. La preuve au brevet j’ai eu le double de points (28,5/40 .. pr env 8 de moyenne général. Car tu dis un synonyme d’un mot tu n’as pas le point ) que la moyenne en histoire géo avec elle.
Surtout quand on a un livre qui sert à rien hormis de faire les devoirs chaque semaines sur deux pages de livres et faire toutes les exercices dessus. Si tu apprends à la base du livre et tu expliques clairement avec les devoirs en classe l’élève apprendras mieux et sera autant intéressé que si tu regardes un film sur la seconde guerre mondiale chose qu’ils font sur les pays en dehors de la France.
Marcus Aurelius
10/08/2020En même temps, la seconde guerre mondiale c'est 6 ans ; l'époque romaine et le moyen-âge c'est légèrement plus long.
Merior
10/08/2020Genre 7 ans non ?Marcus Aurelius : En même temps, la seconde guerre mondiale c'est 6 ans ; l'époque romaine et le moyen-âge c'est légèrement plus long.
Marcus Aurelius
10/08/2020Je crois qu'il s'est montré moqueur sur le "légèrement plus long". ^^Galywat : 39-45 ça fait 6 chez moi
Galywat
10/08/2020Ah 
Oui et puis l'histoire aussi ancienne qu'elle puisse être permet d'expliquer celle plus récentes.
Oui et puis l'histoire aussi ancienne qu'elle puisse être permet d'expliquer celle plus récentes.
Blagoje Vidinic
10/08/2020Pour le plaisir de Merior et des amateurs d'histoires dans l'Histoire, tout autant que pour instruire ceux qui pensent que le football est un truc de bonhommes, je vous conseille cet article que j'ai adoré : https://www.francetvinfo.fr/sports/foot/coupe-du-monde-de-foot-feminin/comment-l-angleterre-a-empeche-les-pionnieres-du-foot-feminin-de-conquerir-le-monde_3261549.html
Ikta Sankrei
10/08/2020Le problème de l'éducation en France c'est que l'on veut que les élèves apprennent par coeur sans chercher à comprendre peu importe la matière. Sans compter que les cours ne sont pas forcément adapter, au lycée les cours de français se rapprochent beaucoup plus de cours de littératures alors même que certaines personnes avaient des difficultés avec le français.
Blagoje Vidinic
10/08/2020C'est totalement faux. Je t'invite à te pencher sur les programmes de l'éducation nationale pour le vérifier par toi- même.Ikta Sankrei : Le problème de l'éducation en France c'est que l'on veut que les élèves apprennent par coeur sans chercher à comprendre peu importe la matière...
Ikta Sankrei
10/08/2020Après je parle d expérience personnelle, plus jeune pour avoir des informations on devait demander, les profs étaient tellement pressé par le temps pour finir les programmes qu ils ne faisaient que ce qui était dans le programme. De même les raccourcis de facilités fais du genre parler de l Allemagne au lieu de la Prusse pour la guerre de 1870.
Lebaygue
10/08/2020L histoire des écrans et du crétinisme qui en découle serait intéressante également... beaucoup moins héroïque que ce que laisse penser le titre de nombreux jeux.
Magikcats
10/08/2020Ikta a raison. Souvent les programmes c’est fait à la speed car trop long. Mais quand tu as un livre si tu suit le programme du livre on lit tous ensemble au lieu d’écrire 5 pages en deux heures et faire les exercices en classe avec l’aide du prof pour mieux comprendre ce serait beaucoup mieux.
Déjà que moi même j’avais des problèmes en Francais et compréhension de phrases (handicap), quand on voit qu’au lycée le français c’est surtout très littéraire , la svt l’histoire géo plus proche du français que la matière même et j’en passe.
A mon second bac pro c’est le français qui m’a pas permis d’avoir 20 en mathématiques pour vous le dire qu’alors tous les calculs et tout tout était bon.
Déjà que moi même j’avais des problèmes en Francais et compréhension de phrases (handicap), quand on voit qu’au lycée le français c’est surtout très littéraire , la svt l’histoire géo plus proche du français que la matière même et j’en passe.
A mon second bac pro c’est le français qui m’a pas permis d’avoir 20 en mathématiques pour vous le dire qu’alors tous les calculs et tout tout était bon.
Lebaygue
10/08/2020Les prémices du mdm et de ta mauvaise étoile.Magikcats : Ikta a raison. Souvent les programmes c’est fait à la speed car trop long. Mais quand tu as un livre si tu suit le programme du livre on lit tous ensemble au lieu d’écrire 5 pages en deux heures et faire les exercices en classe avec l’aide du prof pour mieux comprendre ce serait beaucoup mieux.
Déjà que moi même j’avais des problèmes en Francais et compréhension de phrases (handicap), quand on voit qu’au lycée le français c’est surtout très littéraire , la svt l’histoire géo plus proche du français que la matière même et j’en passe.
A mon second bac pro c’est le français qui m’a pas permis d’avoir 20 en mathématiques pour vous le dire qu’alors tous les calculs et tout tout était bon.
lechtidu62
11/08/2020Merci Guanta, toujours intéressant de te lire !
Cette époque m'oblige à parler d'une "anecdote" qui s'est déroulé 4 mois plus tard et concerne le RC Lens, à l'époque difficile de se nourrir correctement (temps de guerre bien sur... Sachant que la région NPDC était tout particulièrement affecté par la guerre...), Lens affronte Auby-Asturies en 16ème de finale de la coupe de France, l'un des dirigeants Lensois (Albert Hus) déclare avant le match qu'il allait offrir 1 hareng saur (fumé) pour l'équipe par but inscrit, c'était sans compter sur les Lensois qui, morts de faim (c'est le cas de le dire!) ont gagnés 32 - 0, et donc signé la plus grosse victoire en coupe de France, et se sont offerts également de quoi se nourrir quelques temps pendant cette période compliquer.
Cette époque m'oblige à parler d'une "anecdote" qui s'est déroulé 4 mois plus tard et concerne le RC Lens, à l'époque difficile de se nourrir correctement (temps de guerre bien sur... Sachant que la région NPDC était tout particulièrement affecté par la guerre...), Lens affronte Auby-Asturies en 16ème de finale de la coupe de France, l'un des dirigeants Lensois (Albert Hus) déclare avant le match qu'il allait offrir 1 hareng saur (fumé) pour l'équipe par but inscrit, c'était sans compter sur les Lensois qui, morts de faim (c'est le cas de le dire!) ont gagnés 32 - 0, et donc signé la plus grosse victoire en coupe de France, et se sont offerts également de quoi se nourrir quelques temps pendant cette période compliquer.
